Contrairement aux croyances populaires, la meilleure position pour dormir n’est pas celle que vous préférez.

En effet, que ce soit sur le côté, sur le ventre, sur le dos, sur un oreiller haut ou bas… Il faut savoir que notre position d’endormissement peut impacter la façon dont vous vous sentez et l’état dans lequel vous vous trouvez ; surtout si votre position de sommeil favorite est sur le côté gauche.

Pour bien comprendre tous ces enjeux, voici quelques réponses simples sur le sommeil :

Pourquoi le sommeil a-t-il un impact sur le corps humain ?

Il est difficile de surestimer l’importance du sommeil dans nos vies. Pourtant, nous dormons en moyenne 7h47 par nuit, ce qui induit que nous passons près de 26 années de notre vie à dormir.

Ces phases de repos sont essentielles car la tâche du sommeil est de régénérer le corps et l’esprit. Comme on peut le lire ici, c’est aussi une façon de se débarrasser des toxines indésirables de l’organisme, au sens littéral et symbolique du terme.

Quelle est la pire position de sommeil pour notre corps ?

Selon de nombreux scientifiques, la pire position de sommeil est de dormir sur le ventre, car cette gestuelle impose un poids, donc une certaine contrainte à notre respiration pour se soulever à chaque respiration. Cela peut provoquer des maladies cardiaques, et chez les bébés , cela peut être lié au SMSN ou au syndrome de mort subite du nourrisson.

À l’inverse, le sommeil sur le dos, n’est pas recommandé pour les personnes souffrant de problèmes de dos ou pour celles qui ont également des problèmes respiratoires.

Quelle est la meilleure position pour dormir ?

Selon de nombreuses études, la meilleure position pour dormir est de dormir sur le côté, surtout sur le côté gauche. Les analyses scientifiques récentes ont montré que dormir sur le côté favorise l’élimination des toxines du cerveau, ce qui réduit drastiquement l’apparition de troubles de la mémorisation et donc la démence dans le cerveau.

Ce phénomène de santé se rapporte au fait qu’une accumulation de déchets chimiques, y compris la bêta-amyloïde, a été observée chez les patients qui avaient cette habitude de ne pas dormir sur le côté, ce qui peut contribuer au développement de la maladie d’ Alzheimer.